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| winnifred fitzerald • « she's going to break your heart in two » | |
| | Auteur | Message |
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Winnifred M. Fitzerald « enthusiastic admin » like a virgin
Nombre de messages : 358 — ancienne école : Poudlard — facultés : être l'amie d'un lycan ? lionne et patata
Pensine — humeur: enthousiaste — âge: vingt ans — métier: serveuse aux trois balais
| Sujet: winnifred fitzerald • « she's going to break your heart in two » Dim 29 Mar - 21:36 | |
| crocodile
| « que veux-tu que je lui dise ? elle fait tout de travers, elle fonctionne à l'envers, sous ses airs de marquise... elle ne manque pas d'air, elle n'est jamais acquise, ton coeur elle te le brise, ton âme elle te la perd. une fille singulière. elle te tourne à l'envers, elle n'est jamais si soumise, elle te fait changer d'air. elle déguise ses vers pour ne pas être comprise, pour ne pas être prise pour une terre à terre. »
| winnifred melusine cassiope fitzerald
(et de) un; mon petit moi nom : « Comme dans bien des familles, j'ai hérité du patronyme paternel, qui pour moi n'est qu'autre que Fitzerald. C'est aussi un prénom, et je dois avoué que j'ai souvent sursauté lorsque l'on appelait l'un de mes camarades. Ma mère s'appelait quant à elle Claymore, avant son mariage. » prénoms : « J'ai été dotée de plusieurs prénoms, au nombre de trois. Tout d'abord, mon prénom usuel :Winnifred. J'ignore ce qu'il signifie, et d'où il vient. Anglais, sans doute. Quoi qu'il en soit, je l'aime énormément. J'ignore pourquoi, mais j'y tiens beaucoup. Et puis, même s'il me vaut le surnom de Winnie, je trouve ça joli. Ensuite viennent Mélusine et Cassiope. Originaux eux aussi, j'y tiens beaucoup. » âge : « Demander son âge à une femme ?! Vous en avez des manières... Bon, ok, je suis pas vraiment un femme, mais une gamine attardée de vingt ans seulement. » date & lieu de naissance : « Si je suis née il y a vingt ans, je vous laisse faire le calcul. Quant au jour même, je suis née le 23 Février à Ste Mangouste, Londres. Très original pour une sorcière, je sais. » nationalité : « J'ai paraît-il dans le sang celui du sol français. Cela dit, je ne me connaît qu'une nationalité : anglaise. » ancienne école : « Il y a neuf ans , je rentrais dans la très prestigieuse école de Poudlard. Très impressionnée, le vieux choixpeau rabougrit, cette serpillière, me nommait Serdaigle. » métier : « On me dit que je manque de détermination, lorsqu'il s'agit de mon avis professionnel. je vais pas débattre dessus une heure : je suis tout à fait d'accord avec ça. J'aurais rêvé d'être joueuse de Quidditch, ou musicienne... je suis ni l'un ni l'autre, mais serveuse aux Trois Balais. La plus jolie serveuse, cela dit. oh ça va hein... » type de baguette : « Achetée chez Ollivander, ma baguette est faite en bois de saule, et est composée d'un cheveu de Vélane. Elle est plutôt petite, et mesure 24,7cm. Petite, mais souple et extrêmement rapide. Et puis, avec elle j'arrive à lancer des sorts en enchantements très facilement, ce que je préfère à toute autre chose. » balai : « Je suis une sans balais, ahah. Je n'aime pas voler. C'est limite une phobie. Si quelqu'un arrive à m'enlever cette peur, je me marie avec, prenez les paris. Cela dit, pour jouer au quidditch, c'est primordial. Alors je prends un coup sur la tête et j'enfourche mon vieil éclair de feu, offert par ma mère. Mais puisque je ne joues plus depuis des années, je ne monte plus à balais, ce qui fait que... j'ai toujours aussi peur. » un animal de compagnie ? : « Si je vous dit Jack, mon meilleur ami, ça vous va ? Ok, c'est paaaaas vraaaiment un animal. mais il est poilu, débile et il aboie, quand il est en colère. Et là, il va me frapper s'il voit ça... nwn »
(et de) deux; joues le jeu
- Spoiler:
pseudo, prénom : agnès, le super crocodile âge : seize ans sinon rien. avatar : mischa bartooooon code du reglement : va le lire, face de rat ! comment avez vous connu le forum ? je l'ai trouvé dans ma culotte. un commentaire ? <= lui, c'est mon miens
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| | | Winnifred M. Fitzerald « enthusiastic admin » like a virgin
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| Sujet: Re: winnifred fitzerald • « she's going to break your heart in two » Dim 29 Mar - 21:37 | |
| (et de) trois; je pense donc je suis Il me regardait vraiment bizarrement, je vous assure. Je crois n'avoir jamais ressenti un pareil sentiment d'insécurité avant ce jour là. J'étais complètement perdue, ivre d'une liberté qui m'était offerte sous le prix à payer de l'enfermement à partir d'une simple étiquette, là collée sur mes vêtements. C'était la première fois que je me retrouvais loin de mes parents, la première fois depuis onze ans, six mois, 22 jours et quelques milliards de minutes. Enfin un truc comme ça, j'ai jamais été douée pour le calcul. Et j'ai jamais été douée pour être indépendante, loin de ma parents. Du moins je ne l'étais pas, à l'époque. Je crois bien que depuis ma naissance jamais je n'avais été loin d'eux plus d'un week-end. Et là, il fallait que ce premier de septembre soit ma toute première. Ma toute première fois sans eux, et ma toute première journée passée entre les murs froids de Poudlard, l'Ecole de Magie. Pire, c'était la première fois que je voyais un chapeau si laid, si vieux et poussiéreux, qui se faisait appeler Choixpeau et qui parlait. Vous en voulez encore ? Cette chose horrible me regardait étrangement, j'en étais sûre. C'était moi qu'il fixait. Moi, la pauvre Winnie perdue au milieu des élèves, à ne pas comprendre pourquoi c'était un chapeau débile qui nous classait, selon des critères qui changeraient au fil des années. J'étais bien loin de savoir que le Choixpeau lisait dans les pensées, à ce moment là. C'est quand notre Directrice de l'époque l'enfonça sur mon crâne blond que je compris, submergée par une honte incroyable. Non, en fait, ce fut quelques secondes après qu'elle le fit que je m'en rendit vraiment compte. Mais j'ai une excuse, il sentait vraiment pas la rose.— « non mais madame, enlevez-moi ça du crâne. je suis propre, moi. pensais-je en soupirant. ce truc est épouvantable, il pue et en plus il va trouver le moyen de me foutre là où je veux pas... c'est où d'ailleurs ? » — « réclamé comme ça, je n'hésiterais pas à le faire jeune fille. Surtout si vous ne cessez de penser de telles choses... Mais c'est une remarque pertinente, j'y songerais... un peu trop arrogante... serpentard... ? » J'ignore encore s'il me parlait à moi, rien qu'à moi, où si sa voix chiffonnée retentissait aussi dans la Grande Salle. Mes joues s'enflammèrent à le fois de honte et de colère. Moi, une verte et argent ? Jamais ! Le Choixpeau sembla prendre en compte ma considération, pour m'annoncer après quelques longues secondes de honte que ma maison ne serait qu'autre que celle de la sagesse, les serdaigle. Je me demande encore où a-t-il bien pu trouver dans ma mémoire un événement où je me montrais comme telle. Je pense que le Choixpeau a deviné des choses que j'ignorais moi même ou du moins que je n'aurais pu formuler pour ne pas en avoir connaissance. Sans doute je m'en doutais : j'avais toujours eu une soif de connaissance absolue. Curieuse en tout, je détestais ne pas être madame je sais tout, non pas pour une quelconque question de vantardise ou quoi que se soit, mais simplement pour une simple satisfaction personnelle. Il fallait que je sois à la hauteur, et puis le monde m'intéressais. Dans les moindres détails : potins, croyances, et même les moldus avaient pour moi un intérêt énorme. Mais ma venue à Serdaigle n'était pas non plus anodine négativement parlant. Je suis intimement persuadée que les Serdaigle et les serpentards étaient et sont toujours liés, par un même culte de la loi du plus fort. La compétition, y a que ça de vrai. Mais la balance avait apparemment penché du côté des bleus est bronze. Et puis, en plus d'une soif acerbe de connaissance, j'aimais réfléchir, c'est un fait. Pas longtemps je vous l'accorde -car je partais souvent dans des schéma compliqués dans mon esprit pour une simple phrase prononcée-, mais je restais néanmoins amoureuse de livres moldus, où la réflexion était de mise. Et puis, j'étais et suis encore surtout très rigoureuse dans mon travail. Même le moindre petit exercice se doit d'être fait pleinement, j'en suis convaincue. Je serais eut-être même un peu obsessionnelle, de ce côté là. Ce qui n'est pas forcément une bonne chose je vous assure. Car lorsque quelque chose ne va pas, je cède à l'agacement, qui laisse place à la nervosité, puis à l'impatiente, qui devient vite agressivité. Autant vous dire donc qu'il ne faut pas vraiment m'énerver, que ce soit dans le cadre du travail ou non. Ok, finalement, j'étais bel et bien une serdaigle, que je le veuille ou non. De toute façon, une grande partie de ma famille y était elle aussi allée. Mon père et sa soeur étaient allés chez les Pouffsouffles, et il me semble qu'une grand-mère avait été répartie chez les Serpentards. Pour ce qui est du reste, je n'ai à ma connaissance que des fières et sages bleus et bronze. Enfin, sage... pas tant que ça.
C'est vrai, j'étais plus proche de Jack que de quiconque. Je ne sais depuis quand je l'ai dans mes amis, et je dois avouer que je m'en fiche complètement, puisqu'il est là, et c'est tout. Nous sommes tout l'un pour l'autre. Il fut la première personne à qui je mis une claque. Mon premier bisou avec et sans la langue. Mon premier sort lancé par erreur. Ma première tâche de jus de citrouille. Ma première fois. Mon premier, seul et unique meilleur ami. Les gens nous prennent pour un couple, ce qui n'est pas le cas. Nous sommes fusionnes, et nous l'avons toujours été. Nous avons faits des choses intimes ensemble, mais juste... comme ça. Il était là, j'étais là, et on en avait envie. Mais je sais très bien qu'il n'a pour moi que des sentiments amicaux, et je ressens exactement la même chose. J'aurais fait n'importe quoi pour lui. Je l'ai presque fait, d'ailleurs. Mes parents avaient toujours été très laxistes, quant à mon éducation. je faisais ce que je voulais, avec qui je le voulais. Mon père n'était ni un grand sorcier, ni un petit. Il n'était pas sorcier du tout, et ne comprenais rien à la magie. Et quand il s'agissait de mon meilleur ami, c'était un vrai carnage. Il avait pour épouse une sorcière, ok. Sa fille était elle aussi une sorcière, ok. Mais le meilleur ami de sa fille était un lycan. Vraiment dur à avaler. Je ne lui avais jamais caché, sous l'autorisation de Jack, et j'aurais sûrement du. Car préférant ne pas me mêler de cette drôle d'affaire, il me laissait libre de rester avec lui chaque soirs. TOUS les soirs, que se soit un soir normal ou... ce soir là.
— « winnie, dégage. pas ce soir. » Jack insistait lourdement, ça me terrorisait. J'avais treize ans, et je ne l'aurais laissé pour rien au monde. — « si je décampe, tu me promets que tu m'épouses ? » — « je t'épouserais pas du tout, va t'en. » — « ok, je partirais pas… si tu ne m'épouses pas, c'est que je suis ton amie et pas ton amoureuse. ce qui implique que je dois être là quand ta petite amie n'est pas là. je ne l'a vois pas, je reste. » Je n'aurais pas du m'écouter, mais l'écouter lui. Mais comme d'habitude, j'étais bien trop prétentieuse pour savoir que c'était dangereux, et que j'avais tord. Winnifred, ou la bornée de service bonjour. L'air était frais, le ciel un peu brumeux. Ma montre indiquait qu'il n'était pas loin de onze heure et demie, et Jack et moi nous nous étions installés dans une clairière de la forêt, à l'écart de Pré-au-Lard, ou j'avais grandit. Je serais restée ici des millions d'années encore, mais les choses se précipitèrent plus vite que je ne l'aurait imaginé. Mes cheveux blonds et ondulés valsaient de part un vent léger qui parcourait nos deux corps. Ce vent pourtant frais et agréable me fit frissonner, annonciateur d'un mauvais événement. Tout ce passa étonnement vite. Le temps quelques secondes auparavant se voulait pourtant brumeux, ne laissant la lune et ses rayons nous atteindre. Et puis, le vent pourtant agréable en décida autrement, dispersant les nuages dans le ciel. La lune, belle et claire, lumineuse et ronde fit son apparition. La pleine lune illumina notre clairière comme jamais je ne l'avais vu. Et puis... le silence. Un silence interrompu par le cri déchirant de Jack, pris d'une hystérie que je ne lui connaissait pas. Il avait pourtant toujours tout fait afin d'éviter ça. Jack le lycan se transformait, sous mes yeux effrayés.
Je courais, aussi vite que je pouvais. Mon corps déjà trop fin et élançait accumulait les blessures, surmontant la douleur provoquée par ces dernières. Il était là, juste derrière moi. Il était magnifique, effrayant. Son poil luisait sous cette lumière lunaire, et j'aurais tant voulu le toucher... Lui aussi, à vrai dire. Mais c'était pour mieux me manger, mon enfant. Il ne se contrôlait pas, c'était impossible. Je faisais de même, donnant tout ce que je pouvais afin de sortir au plus vite de cette forêt maudite. Soudain comme au ralentit, la chute. Mon pied gauche s'était pris dans une branche, et je me trouvais à terre, le visage dans la terre humide. Mon teint déjà blafard et laiteux était devenu quasi blême, et mon souffle était court. Mon meilleur ami était devenu un monstre, et j'étais presque entrée dans sa gueule, délibérément. Je ne pourrais vous raconter la suite de ce passage de ma vie. La raison ? Un vide intercideral. J'ignore si mon cerveau a intentionnellement supprimé ces données de ma vie, ou un autre phénomène de ce genre, mais je me suis réveillée, le visage en sang et le bras fracturée aux côtés de Jack. Il était lui aussi blessé, et semblait exténué, sur le point de rejoindre un autre monde. C'est à ce moment là que je décidais de mettre ma bêtise à son service. Ma bêtise, du mot «bête», au sens propre, animal. Pour lui, je serais animagus. Pour lui, je deviendrais lionne.
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| | | Winnifred M. Fitzerald « enthusiastic admin » like a virgin
Nombre de messages : 358 — ancienne école : Poudlard — facultés : être l'amie d'un lycan ? lionne et patata
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| Sujet: Re: winnifred fitzerald • « she's going to break your heart in two » Dim 29 Mar - 21:38 | |
| whisky pur feu et états d'âmes
— « la serpillère, tu bouges ? » — « la serpillère ne bougera pas, sale petit moineau. » J'haussais les sourcils, et bousculais Christopher sans le regarder. Il avait un an de plus et se trouvait chez les serpentards, mais je changeais ma crainte en arrogance et en courage que je ne connaissais pas. Je m'étais souvent conduite de cette manière, par bien des façons et dans bien des domaines. Mais le domaine dans lequel je préférais appliquer cette manière, c'était Chris. Christopher Stonem, le beau gosse râleur des serpy. Il était adulé de bon nombre de fille, et je clamais haut et fort que je ne marchais pas à son quelconque charme, ce qui étais totalement faux. Dès ma première année, il m'avait complètement rendue folle. Je ne dirais pas d'amour, car je ne joues pas avec ces choses là, cependant, mon corps était plein de changements chimiques lorsqu'il était dans les parages. Mais pour mieux cacher ces sentiments et ne pas être mise au niveau de toutes ces filles pré pubères, je chantais sur tout les toits qu'il était ma bête noire, un imbécile d'une arrogance affligeante : et j'adorais ça. Même Jack était persuadé qu'aucun sentiment tel que l'amour ne me hantait. Seule Callypso, ma meilleure amie, devait être au courant, bien qu'aucun souvenir d'une discussion à son sujet ne me soit connu. Ce soir là, j'avais «un peu» abusé d'une boisson alcoolisée lors de la soirée d'anniversaire d'une amie, et je m'étais rendue je ne sais où dans Poudlard, ivre. C'était interdit, mais je m'en fichais. J'étais heureuse, et j'ignore pourquoi. Je me baladais alors seule, déambulant dans le château. Du haut de mes quatorze ans, je devais avoir l'air fine, vraiment très fine. Le pire, c'est que monsieur Stonem vint gâcher mon bonheur solitaire. Je n'ai pas vraiment de souvenir à propos de notre discussion, je me souviens juste de lui, et de moi. Il devait sans doute être plus beau que d'habitude, car je me souviens encore de mon cœur, qui battait la chamade. Je devais lui dire des choses horribles, débiles et puériles. Mais le fait d'avoir tout oublié m'aide sûrement dans le fait de le revoir à nouveau. Nous nous rapprochions indéniablement, ayant changé notre discours qui se voulait le jour même acerbe, froid. J'ignore ce qui lui a pris, mais dans les vapes dans lesquelles je me trouvais, un soupçon de clarté et de bonheur réel vint se loger. Il avait posé ses lèvres douces sur les miennes, sur lesquelles un goût d'alcool était sûrement imprimé. Une sensation d'une saveur agréable et chaleureuse frappa à ma porte, pour en partir aussitôt. Des larmes seraient même apparues sur mes joues roses, mais j'ignore s 'il s'agit de la réalité ou d'un rêve que j'aurais fait. Une chose est sûr, ce baiser à changé nos deux vies. Je suis devenue beaucoup plus aguicheuse et briseuse de cœur que je ne l'étais, amère de ce sentiment qui ne me quittait pas. Lui s'est comme... renfermé sur lui même. Qui aurait cru qu'un baiser pouvait engendrer tout cela, toute cette horreur ? Même si aujourd'hui, nous faisons comme si de rien était, je suis persuadée qu'il y pense encore. cela dit, c'est peut-être mon imagination... non, c'est sûrement mon imagination.
— « CALLY ?! » — « Quoi encore ? » — « Oh bah ça va, t'as vu comment tu parle à une fille qui a eu E a presque tous ses resultats d'A.S.P.I.C ! » — « Presque ? Winnie, tu es médiocre, viens là me faire un câlin. » Sept ans. Cela faisait sept ans que je connaissais Callypso, et sept ans que je l'aimais. Sept ans, c'est si peu en fin de compte. C'est aussi le nombre d'années que j'ai passé à Poudlard, l'école de sorcellerie. J'y avait fait, des choses. Je m'étais montré généreuse, rebelle, aguicheuse, amoureuse... J'avais jeté des garçons aux oubliettes, eut des bonnes notes, et pleuré sans raison, comme une enfant. J'étais passée par bien des passades, en sommes. Ce que je fais toujours, d'ailleurs. Lunatique, voilà ce que je suis. Après ces sept années, le changement fut difficile. Le départ de Cally pour le France, celui de Jack pour Londres, et l'autonomie pleine que je due adopter me força à me montrer un peu plus mature que je ne l'étais avant. J'apprends pourtant toujours à rester humble et distante, réfléchie, mais c'est bien souvent difficile. Vivant à Poudlard, je suis connue d'à peu près tout le monde il me semble. Il faut dire, je ne reste pas cachée dans mon coin, comme je l'ai fait durant les sept années de ma scolarité. Et puis, quand je quitte mon tablier aux trois balais pour aller jouer ma musique, je me fait d'autant plus remarquer. C'est drôle, mais une personne ne semble ne pas me remarquer. Toujours le même. Trois ans après ma sortie de Poudlard, et dix ans après mon entrée dans cette même école, il me fait toujours le même effet. Mais peu importe, ce bourreau des cœurs râleur qu'est Chris ne doit plus rien me faire, il n'a pas le droit. Aujourd'hui, j'ai construit de nouvelles relations malgré mon éternelle manque de sincérité en d'engagement, et mes deux meilleurs amis sont revenus, alors je me contrefiche du reste. Enfin, je crois.
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