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| Henry Lawrence Geller 1oo% | |
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| Sujet: Henry Lawrence Geller 1oo% Ven 2 Jan - 18:36 | |
| . Henry . Lawrence . Geller icon by Misery Angel « Vivre est ce qu'il y a de plus beau au monde, la plupart des gens existent, c'est tout. » Oscar Wilde
Dernière édition par Henry L. Geller le Sam 3 Jan - 14:17, édité 9 fois |
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| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Ven 2 Jan - 18:36 | |
| (et de) un; mon petit moi nom : « Banes Geller. Banes était le nom de jeune fille de ma mère. Officiellement, on ne le trouve pas sur mon acte de naissance. Mais j'aime le porter, en souvenir d'elle, et surtout, par défiance envers mon père. C'est d'ailleurs son nom que je porte en réalité. Geller. Un nom abjecte, qui ne rappelle rien de bon à ceux qui connaissent l'histoire de la famille. Une quantité assomante de lâches, sans coeur et sans pitié, et franchement, sans grand intêret. » prénoms : « Henry, Lawrence, Tobias. Un nom à rallonge que je dois à mon père. Il semblerait que le premier vienne de mon grand père, que je n'ai jamais eu le loisir de rencontrer... Le second d'un vieil ami de la famille, et le dernier, d'un ancêtre illustre a qui nous devons la majeure partie de la fortune familiale. Bref, rien de bien original, mais chez les Geller, on n'aime pas faire dans l'étonnant. » âge : « seize ans. » date & lieu de naissance : « un vingt et un décembre, peu avant Nöel, et jour de l'hiver. Je suis né à Sainte Mangouste, et je rejoignais la demeure familiale, à Perth, en Ecosse, quelques jours plus tard. » nationalité : « Ecossaise. Et j'insiste sur ce fait, on ne traite pas d'Anglais un Ecossais pur souche. »
(et de) deux; «des détails, donnez moi des détails !» ascendance : « Sang mêlé. Les Geller sont aussi odieux que les sang purs, mais ils n'en ont pas l'ascendance... La faute à grand mère Astrid et ses nombreux adultères. » maison : « Je m'en fiche un peu, à dire vrai. J'ai le sens de la justice des Poufsouffles sans en avoir la patience, la ruse des Serpentards alors que je n'ai aucune ambition, le courage des Gryffondors sans pour autant en avoir la hardiesse, et j'ai l'intelligence des Serdaigles, sans pour autant en posseder la sagesse. Après, bon courage au choixpeau. » année d'étude : « sixième année. » type de baguette : « 26.5 cm en bois de noisetier, symbole d'intuition et poésie, méditation et sagesse. On y trouve un crin de licorne. Il parait qu'elle est souple et idéale pour les sortilèges... Enfin c'est ce qu'a dit le vendeur. Pour moi, ça reste un bout de bois. » balai : J'ai pas de balai. Si j'en veux un, je peux toujours en emprunter un... animal de compagnie : « J'ai un chat, Elias. Mon frère me l'a offert pour mon dixième anniversaire. Il est marron, avec énormément de nuances de couleurs. Le matou manque cruellement d'exercice, ce qui fait que la bête est énorme... C'est aussi un excellent chasseur, qui adore courir après les rats des autres élèves... »
(et de) trois; je pense donc je suis physique : « La première chose à savoir chez Henry, c'est que c'est un garçon. Un mâle, un vrai, vous dirons certaines demoiselles. Bref, Henry est grand, très grand, et mince. Il est tout à fait charmant, comme le dit sa grand mère, et possède un air malicieux et charmeur qui ne trompe personne. Henry a des mains de pianiste, de longs doigts délicats. Ses cheveux bruns sont assez courts, et à tendance indomptable. Henry a le sourire rare et des yeux bleus très expressifs. Beaucoup pensent qu'il est triste en permanence, tant son visage est grave et sérieux. Il possède quelques cicatrices ici ou là, souvenirs des coups que son père lui inflige de temps à autre. Ayant grandi dans une famille de sorciers très stricts et protocolaires, Henry n'a pas l'habitude de porter autre chose que ses traditionnelles robes de sorcier. Mais il lui arrive de se vêtir de plus en plus souvent à la manière des moldus, lorsqu'il est chez lui. A savoir: une chemise sous un pull, et un jean que son père estime bien trop grand pour lui. » personnalité : « Henry est quelqu'un de réservé, qui ne se confie jamais à personne. Il est très renfermé sur lui même, et envoie promener ceux qui se montre trop insistant avec lui. Dénué de patience, Henry fait partie de ces gens qui s'énervent facilement. Adepte de la fuite dès qu'il s'agit de parler de lui, il est en revanche toujours présent lorsqu'il faut se battre. Oui, il est bagarreur, et n'a pas peur de jouer des poings à la moindre contrariété. Il ne craint cependant plus les coups des autres depuis longtemps, grâce à son père qui l'a « endurcie » par ses maltraitances à répétition. Henry, c'est le type qui passe sa journée dans le parc, un bouquin à la main. C'est celui qui s'allonge dans l'herbe sa clope au bec, le regard perdu dans les nuages. Henry, c'est celui qui traîne dans les couloirs à trois heures du matin, parce qu'il n'arrive pas à trouver le sommeil. C'est celui qui tient pendant deux heures une discussion avec Nick Quasi sans Tête sur la meilleure méthode pour décapiter les gens. Henry, c'est celui qui vous parle d'un livre avec passion, alors qu'il n'en aura même pas lu une ligne. Henry, c'est un regard insondable, une personnalité improbable, une sensibilité étonnante, une curiosité insatiable. Il est le type qui finira son devoir vingt minutes avant de le rendre. Et qui aura quand même la moyenne. Il est cet être pénible qui vous répétera mille fois qu'il avait raison, celui qui vous exhortera à explorer les souterrains du château, celui qui s'assoit à la fenêtre en cours, qui laisse passer les demoiselles devant lui en toute circonstance, qui préférera vous lancer un petit sourire plutôt que d'engager la conversation avec vous... Henry, il est improbable. Tantôt désagréable tantôt le plus doux des agneaux, il met toutes ses tares sur le compte de son paternel, et jure par la barbe de Merlin qu'il n'a rien du salop qu'on prétend. Et pourtant, il est comme lui, il le sait. Ça lui fait peur, ça l'énerve, de savoir qu'il peut déraper à tout moment, qu'il peut frapper sans retenue sur un type, qu'il peut en vouloir à la terre entière sans avoir de prétexte, qu'il peut mentir pour le simple plaisir de le faire, qu'il peut enchaîner les conquêtes sans le vouloir vraiment... Il sent son ombre rôder derrière lui, une menace persistante qui lui pèse lourdement. C'est probablement à cause de lui qu'Henry est si en retrait des autres. Il est un bon camarade, mais n'approfondit que rarement les relations avec ses semblables. Pourquoi? Il n'en sait rien lui même. Henry est un jeune homme téméraire et intelligent, qui ne réfléchit pas toujours avant d'agir. Fort heureusement pour lui, il n'est pas dépourvu de logique, et parvient toujours à se tirer de toutes les situations. Henry vit souvent au jour le jour, et ne parvient jamais à se projeter dans l'avenir. Son futur? Il est bien incapable de l'imaginer, et en parler le met toujours dans l'embarras. » préférence : « Henry aime le piano plus que tout au monde. C'est son échappatoire, un don qu'il a hérité de sa mère, et qui le transporte, le transcende. Il aime la lecture et l'écriture, et tout ce qui lui offre la solitude qu'il semble tant chérir. Passionné d'échec, il aime disputer une bonne partie au coin du feu, dans sa salle commune. Henry aime se promener une fois la nuit tombée dans les couloirs sinueux de l'école, avec pour seule compagnie le silence, et pourquoi pas un fantôme. Le jeune homme aime les cours et particulièrement les potions. Il s'est rapidement révélé très doué dans cette matière, et avide d'en apprendre toujours plus. Il est même en avance sur le programme, et connaît des potions d'une réelle complexité. Henry est issu d'une grande famille de sorciers, purs pour la plupart, même si lui même est de sang mêlé. Beaucoup se sont alors demandés quelle était la position des Geller, quel camps avaient ils rejoint. Pendant la guerre où s'illustra Harry Potter, les Geller, s'ils étaient ouvertement neutres, penchaient naturellement en faveur du seigneur des Ténèbres. Mais bien trop lâches pour tenter quoi que ce soit, et plus encore pour porter la marque, ils se terrèrent dans l'ombre, et attendirent la fin de la guerre pour réapparaître. Ce ne fut qu'à partir de Samuel Geller que le courage de la famille fut avéré. Samuel, lui, était résolument du côté obscur. Et bien qu'il lui ressemble, son fils Henry est très attaché au bien. »
(et de) quatre; écris moi une histoire histoire : voir en bas. anecdotes : « Papa était à Serpentard... Et du plus profond de mon être, j'espérais ne pas y être. Un ultime pied de nez à mon géniteur. Avec un peu de chance, il ferait une crise cardiaque. On me placerait chez ma très charmante tante Maud, et je découvrirais enfin les joies d'une enfance normale... Mon nom fut appelé dans les premiers. Geller, ouais. J'étais anxieux, presque certain de sentir le regard de mon frère dans mon dos. Ses yeux m'en brûlaient presque l'échine. Je ne tremblais pas, en m'approchant du chapeau rapiécé. Un mélange d'appréhension et d'excitation m'envahissait un peu plus à chacun de mes pas. Et lorsqu'enfin mon digne postérieur se posa sur le tabouret, je retins min respiration. Comme si ma vie se jouait en cet instant. Mon Poufsouffle de frère ne devait pas faire le fier, lui non plus. Je me souvenais comme si c'était hier du visage furieux de mon père, lorsqu'il avait apprit que son propre sang n'avait pas suivit ses traces. J'avais eu le malheur de sourire, ce jour là. Il avait passé sa haine sur moi. Un faible murmure au creux de mon oreille me fit revenir à la réalité. Le choixpeau s'adressait à moi, me révélant ses doutes. Lui non plus, il ne savait pas quoi faire de moi. Et après un temps qui me parut interminable, il m'annonça qu'il avait fait son choix. Un tonnerre d'applaudissements résonna dans la salle, tandis que je me précipitais vers la table qui serait mienne pendant sept ans. » relations : « Ma famille. Il n'y a pas grand chose à dire dessus. Mon père aime régenter ma vie et celle de mon frère aîné, duquel je ne suis pas très proche. Il nous frappe au moindre écart de conduite, prétextant que cela nous endurcie. J'ai apprit à ignorer les coups. Ma mère est morte lorsque j'étais enfant, et elle me manque cruellement. J'ai une grande famille, des cousins à la pelle, des oncles et des tantes qui sont de véritables étrangers pour moi. Il n'y a pas de famille plus pitoyable que la mienne, à dire vrai. J'ai quelques amis, aussi. Mais ça ne va jamais bien loin. Il paraît que je suis trop froid. Gentil, mais pas assez démonstratif. Vous m'en direz tant. A quoi ça sert, d'être proche de quelqu'un? Il vous trahira un jour, de toute façon. Et je ne veux pas qu'on joue avec moi. Non, pour ça, y'a déjà mon père. » (et de) cinq; joue le jeu pseudo, prénom : Got Milk (aha, fille, garçon, les deux, ça vous aide pas à savoir un pseudo comme ça...) âge : 19 ans avatar : « Jamie Dornan » code du reglement : « vouii » comment avez vous connu le forum ? « via un partenaire » et toi, il t'aurait foutu où, le choixpeau ? « à la cave ... Ou plus probablement chez Serpentard... » un commentaire ?
Dernière édition par Henry L. Geller le Sam 3 Jan - 14:40, édité 13 fois |
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| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Ven 2 Jan - 18:37 | |
| Il pouvait être fier, Samuel Geller. Son fils cadet le haïssait de tout son être, mais ce n'était qu'un détail. L'aîné, Edmund, était chétif, sans grand intérêt. Il ressemblait en tout point à sa défunte mère. En revanche, Henry, le petit dernier, n'avait rien à voir. Il était déterminé, ne laissait jamais rien au hasard, et ressemblait beaucoup à son père. Henry refusait naturellement de l'admettre, il faisait même tout son possible pour montrer à son père qu'il ne serait jamais comme lui. Mais rien à faire, à force de côtoyer le monstre qui l'avait engendré, Henry devenait comme lui.
E. « Tu vas mal tourner, Henry... » H. « Ta gueule, Ed. J'en ai rien à foutre, de tes remarques... » E. « Ouais, bah tu devrais peut être t'en soucier un peu... Tu deviens comme lui... » H. « Dans tes rêves. Tu m'envies... Parce que je vais devenir quelqu'un. Toi, t'es qu'un raté. »
Edmund et Henry n'étaient en rien similaires. Ils n'avaient jamais été très proches, sauf quand il s'agissait de dénigrer leur père. Ça, ils savaient faire. Ils excellaient, même. Mais lorsque l'ombre du père s'abattait sur eux, que les coups pleuvaient au dessus de leur têtes, ils étaient seuls. Car c'était de notoriété publique, dans le monde des sorciers, que Samuel Geller était un homme violent. Qu'il éduquait ses fils à la force des poings, qu'il collectionnait les maîtresses, et qu'il ignorait les remarques qu'on pouvait lui adresser. Samuel ne vivait que pour lui, et ceux qui l'entouraient n'étaient que des pions. De ses pions préférés, l'un d'entre eux le passionnait plus que les autres. C'était Henry. Il retrouvait dans son gamin la même grandeur qu'il voyait en lui. Sa plus grande fierté, mais aussi sa plus grande déception. Car, à l'image de son frère, Henry avait beaucoup hérité des traits de caractère de sa mère. Douce et sensible, Charlotte Geller, née Banes, avait ruiné les plans de son cruel époux. Il voulait des enfants forts et solides. A la place, il devrait se contenter d'Edmund et Henry. L'un étant trop frêle pour effrayer une mouche, l'autre trop sensible pour être une menace. C'était pourtant sous estimer son cadet, et cela, Samuel le réalisa bien rapidement. Car tenace et têtu à l'image de son géniteur, Henry avait développé une personnalité complexe, qui fascina bien vite son père. Peut être que finalement, il pourrait tirer quelque chose de ce gosse... Le manier comme il l'entendait, et voir le prestige des Geller en sortir grandit.
Car pour Samuel, tout n'était qu'honneur, famille, et puissance. Henry ne partageait pas cette vision, dans laquelle il avait été bercé. Seize longues années avaient suffit pour qu'il ne croit en rien, et certainement pas en son patronyme.
S. « J'espère que tu me donneras un fils, Charlotte. » C. « Tu as déjà un fils. Que fais tu d'Edmund? » S. « Cet enfant? Regarde le, il est faible, il n'a rien d'un Geller »
L'enfant en question n'était pas en âge de comprendre. Alors à peine âgé de trois ans, il jouait sans se soucier des mots cruels qu'employait son père pour désigner son fils aîné. Sa honte. Sa propre progéniture, si différente, si misérable. Il espérait de tout son être que l'enfant à naître serait à son image. Et il ne se tromperait pas. Henry n'emporta cependant pas les faveurs de son père. Car s'il était très certainement le préféré, il essuyait les humiliations tout à fait comme son frère. Les coups portés se faisaient aussi durs, les insultes aussi virulentes. Les attentes de son père étaient plus importantes encore que celles qu'il avait envers Edmund. Si bien qu'Henry regrettait bien souvent d'être le préféré.
Les deux garçons, pourtant si différents, étaient tous les deux très proches de leur mère. Elle leur rendait bien, d'ailleurs. Elle était la seule preuve d'amour qui régnait dans cette maison. Alors qu'ils ne voyaient en leur père qu'un terrible bourreau, leur mère était une femme meurtrie, mais qu'ils aimaient sans limite. Quand Edmund eut dix ans et Henry sept, Charlotte contracta une affreuse maladie, qui l'emporta très rapidement. Ses enfants furent la seule à la pleurer. Samuel, en revanche, s'en félicita presque. Il avait désormais le champs libre pour élever ses fils comme il l'entendait, et n'aurait plus à cacher ses maîtresses.
H. « J'te déteste. » E. « Menteur. T'es juste jaloux... » H. « De toi? C'est la meilleure! » E. « Ouais, de moi... Parce que je pars, et toi tu restes. »
Edmund partait. Pour Poudlard, naturellement. Un an seulement que leur mère était morte, et la famille Geller se réduisait comme peau de chagrin. Il ne l'aurait jamais avoué, mais Henry redoutait le départ de son frère. Parce qu'être seul en compagnie de son bourreau ne l'enchantait pas. Parce que si supporter son géniteur serait difficile, il devrait aussi ignorer les maîtresses qui défilaient, les sorciers à la réputation douteuse qui passeraient leur porte... Henry ne voulait pas affronter son père tout seul. Et pourtant, il n'avait pas le choix. Il lui restait trois longues années avant de pouvoir prétendre à son tour intégrer Poudlard. Heureusement pour Henry, il restait un soutient de taille, dans la maison Geller. Le fidèle Elfe de maison, Adriel, qui avait toujours veillé sur les deux garçons. Aussitôt Edmund partit, la vie du cadet changea radicalement. Son père commença à s'intéresser davantage à lui, en lui imposant un précepteur qui lui enseignait tout ce qu'il devait savoir sur le monde des sorciers. Ainsi, Henry devint incollable sur les familles de sang pur, l'histoire de son peuple, ou les potions en tout genre. Samuel ne voulait pas avoir à rougir de son fils.
Le petit Henry devint grand, et enfin, il entra à Poudlard. Son frère et lui se rapprochèrent, durant cette période. Loin du paternel, ils apprenaient à se connaître, et se découvraient des points communs. Mais la menace du père planait toujours au dessus d'eux, et aucun des deux jeunes hommes ne put réellement s'épanouir en toute liberté. A chaque vacances, ils retournaient à Perth, où leur père se chargeait de leur rendre la vie impossible. Mais les deux frères s'en fichaient presque, à présent. Car leur vraie maison, désormais, c'était Poudlard. Edmund fut bientôt arrivé à la fin de sa septième année. Ses Aspics en poche, il ne tarda pas à quitter définitivement le foyer familial. Qui voudrait rester dans une maison où l'on n'est pas le bienvenue? Au grand damne de son père, Edmund multiplia les erreurs... Il fut engagé comme simple gratte papier au ministère de la magie, ruinant ainsi les espérances de Samuel de voir ses deux fils briller dans la haute société, et se maria avec une sorcière née moldue. S'en fut trop pour Samuel, qui coupa les ponts avec son fils. Henry, lui, admirait les décisions de son frère, qui manquait de courage, mais avait su mener sa barque sans s'occuper de son père. Il aurait voulu en faire de même. Il rentrait en sixième année, mais se savait parfaitement à la merci de son père. Ses choix, qu'il le veuille ou pas, étaient toujours prit en fonction de Samuel. Le plus souvent pour le mettre hors de lui. Ainsi, Henry ne vivait que pour contrarier son père. Il recevait des coups en conséquence, et bien qu'il dépassait à présent son père d'une bonne tête, il n'en avait pas la carrure, et restait une proie facile face aux coups de son père.
H. « Je devrais peut être partir... Pour aller où? Qui voudrait de moi? Tu as raison, je ne vaux pas mieux que lui... Je prends des décisions dans le seul but de lui nuire, j'ai sa suffisance, son mépris, son caractère impossible... Il m'a fait à son image, et je n'ai rien vu venir. Je ne suis qu'un pion de plus sur son échiquier... Tout ça doit changer, Ed. Si je ne veux pas devenir comme notre père, il est temps que je me prenne en main. Je jure sur Merlin qu'il ne m'aura pas. Il pourra frapper aussi fort qu'il le veut, je ne deviendrais pas son fidèle toutou, manipulable à sa guise. »
Dernière édition par Henry L. Geller le Sam 3 Jan - 23:47, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Ven 2 Jan - 19:03 | |
| Mouahaha, je sais, c'est étudié pour... & aussi parce que j'hésite entre deux x) Merci pour l'accueil =) |
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| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Ven 2 Jan - 19:50 | |
| James McAvoy ou Jamie Dornan, mon coeur balance xD |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Ven 2 Jan - 20:00 | |
| Personnellement je préfère Jamie Dorman =) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Ven 2 Jan - 20:06 | |
| Bienvenuue && bon courage pour la suite ! J'viens mettre mon grain de sel aussi ! è___é Y a pas de raison : JAMES =D |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Ven 2 Jan - 20:38 | |
| Meuh non =( JAMIIIIIIE =D =D =D |
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| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Ven 2 Jan - 20:46 | |
| Par contre, vu que ton personnage a 16 ans, là tout de suite je préfère Jamie. James à quand même 30 ans, alors pour un sixième année... Personnellement, je trouve ça bizarre :s
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Ven 2 Jan - 20:47 | |
| Bon point pour toi ^^ T'façon, j'avais opté pour Jamie, j'ai juste pas fait le changement ;] |
| | | Invité Invité
| | | | Polly C. McCarthy j'attends
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| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Sam 3 Jan - 11:33 | |
| BIENVENUE ! =D
Il va me falloir absolument un lien ! xD |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Sam 3 Jan - 14:18 | |
| Merci tout le monde! Fiche terminée, quoique un peu bâclée, je vais bosser dans pas longtemps, et je voulais finir ce matin.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Dim 4 Jan - 13:34 | |
| je te remercie pour tes encouragements, dont j'ai en effet bien besoin. Tu es un jeune homme bien compliqué... Cependant, je vois qu'au fond de toi, tu es quelqu'un de calme, et sage, par moment. Non seulement brave, mais aussi très intelligent, cela fait de toi un reservé et prudent
te voilà donc validée. Une envie soudaine de faire partie de l'équipe de quidditch , où d'être préfete ? alors c'est ici. P.S : J'espère que Serdaigle te convient... j'ai longuement hésité, et je me suis dit qu'un Serdaigle comme toi pouvait être intéressant. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% Dim 4 Jan - 20:13 | |
| Serdaigle me convient parfaitement, j'avais pas spécialement de maison précise en tête... Et puis c'est une grande première pour moi, donc ça peut être intéressant =) En tout cas, merci pour tout x) |
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| Sujet: Re: Henry Lawrence Geller 1oo% | |
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| | | | Henry Lawrence Geller 1oo% | |
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