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| « Adonis N. McShore | |
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Invité Invité
| Sujet: « Adonis N. McShore Lun 22 Déc - 1:51 | |
| (• et de) un; mon petit moi nom : « McShore. Ca résonne d’une façon… délicieuse, non ? J’adore ça. Ca fait trembler les filles, et j’avoue que même si la drague, c’est pas trop mon truc, c’est jamais désagréable de les voir se tortiller à mon passage. » prénoms : « Adonis Nate. Adonis pour le renouveau que j’incarnais, puisque premier mâle de ma famille. J’étais aussi destiné à être beau bien sûr, puisque fils de sang purs (et j’avoue, ma mère était folle de mythologie et tout le tralala, forcément, fallait que ça me retombe dessus). Nate, c’était le nom d’un de mes illustres ancêtres, dont l’histoire m’échappe encore… » âge : « J’ai dix-sept ans, et toute la vie devant moi. Si j’ai hâte d’atteindre le seuil de la majorité ? Pas franchement. Etre aux crochets de mes parents, ça me plaît pour le moment… » date & lieu de naissance : « Adonis Nate McShore, né le vingt trois avril deux mille vingh deux, dans cet hôpital à nom de crustacé. » nationalité : « Je suis made in Scotland, comme l’indique assez bien mon prénom. Les Anglais ? Ils ne me déplaisent pas, mais qu’ils osent seulement parler de travers de mes origines, et je ne répond plus de moi. »
(• et de) deux; «des détails, donnez moi des détails !» ascendance : « Un sang pur. Que ces mots résonnent avec douceur à mes oreilles ! Je vous épargne les détails, mais ne vous avisez jamais de douter de mon ascendance brillante de magie. La perfection est la marque de fabrique de ma famille et de chacun de ses membres, inutile de vous dire qu’un cracmol ou un moldus dans nos rangs relève de l’impossible. » maison : « Beaucoup parle d’une ambition démesurée, et je peux me vanter d’une malice à toute épreuve. Il me semble que serpentard était fait pour moi, même si toute la famille n’y est pas passé. Ma propre mère était en effet à Gryffondor et mon père lui, à Serdaigle. Mélanger les deux aura donné naissance à un des plus beaux serpents du monde, rien que cela. » année d'étude : « Septième et dernière année, il me semble que j’aurai bien du mal à quitter cette école. Je n’ai même pas idée de ce que je veux faire la suite et j’avoue que mon futur me fait un peu… peur. » type de baguette : « Celle qui m’a choisit fut de chêne et composée d’une plume de phénix. Disons que je m’attendais à quelque chose… d’autre. Elle mesure 28,6 centimètres et sa son extrême souplesse me permet de lancer des sorts avec une facilité déconcertante. C’est qu’on s’y attache à ces p’tits bouts de bois. » balai : « Vertige quand tu nous tiens. Je le cache bien, mais le simple fait de monter sur un balai me file des nausées pas possibles. La première fois, j’ai même cru à un sort lancé contre moi tant je voyais trouble. Les balais, très peu pour moi. Pour la forme, j’ai un exemplaire du célèbre Eclair de Feu, dont je ne me sers qu’en de très rares occasions. » animal de compagnie : « Je possède un chat mâle, âgé de presque sept ans, que l’on m’a offert à mon entrée à Poudlard. Entièrement noir, ses yeux verts semblent pénétrer au plus profond de l’âme de celui qui les regarde trop longtemps. J’avoue qu’il me fait même peur parfois, en tous les cas, il ajoute encore au mystère qu’on me prête, lorsqu’il trotte à mes côtés dans les couloirs. Ah, j'oublais : son petit nom c'est Bitterness. »
(• et de) trois; je pense donc je suis physique : « Il paraît que je suis beau. Je dirai même, toute vantardise mise à part, très beau. Mais laissez moi rectifier une légende : j’ai en fait bien plus de charme qu’autre chose. Je prend garde de ne pas le remarquer à voix haute bien sûr, je tiens à ma réputation de tombeur faut dire. Ne croyez pas tout ce que l’on raconte, je n’ai jamais eu l’air d’un dieu. Un demi-dieu à la rigueur, mais la première fonction est trop crevante pour moi. Je suis indéniablement grand, disons de taille normale pour un garçon de mon âge. Je suis loin d’atteindre les deux mètres, je stationne plutôt au mètre quatre vingt. Ce n’est pas plus mal. Bref, je suppose que ma taille vous importe peu, alors, déblatérons maintenant sur autre chose. Mon poids peut-être ? On m’a souvent reproché d’être trop fin, mais ce n’est pas le cas, juste que j’ai davantage de muscle que de graisse et que malheureusement, c’est la deuxième option qu’on remarque le plus. Du coup, je passe pour un gringalet alors que mes abdos sont d’acier. Manque de bol ? Peut-être bien, mais ça n’a pas grande importance, puisque la première chose que l’on remarque chez moi c’est mon visage. Je trouve mon menton un peu trop volontaire, et c’est avec joie que j’ai accueilli mes premières barbes, qui ne m’enlaidissent pas et planque légèrement cette partie de moi-même. Je suis loin d’aimer mon nez également, mais pour le coup, je dois faire avec, et prier pour que ce soit mes yeux que l’on voit en premier : ils sont clairs et foncés à la fois, et mes regards en ont pétrifié plus d’une. Je m’enorgueillis de ce pouvoir de séduction, de ce charme qui émane de ma petite personne. J’en joue beaucoup, et parfois même sans le vouloir. Niveau goûts vestimentaires ? J’ai un faible pour le jeans accompagnés de jolies chemises de couleurs claires : légèrement déboutonnés sur le haut, ça me donne un air rebelle monstre et ça plaît. » personnalité : « Serais-je aussi vilain que j’en ai l’air ? Il paraît en effet que j’ai tout ce dont un Serpentard pouvait rêver : la malice, l’ambition, la détermination. Et en plus, je plais aux filles. Que rêver de mieux ? Je vous rassure de suite, être dans la peau d’Adonis McShore n’a rien d’amusant. Je vous raconte d’abord de quoi j’ai l’air : à première vu, je suis un garçon qui peut se révéler détestable. J’avoue aimer passer mon temps à rire des autres, et à me moquer de leurs faiblesses, autant physique que morales. Les petites, les intellos, les moches, j’en fais mon affaire. Le pire étant que je n’ai honte de rien, et que le regret n’a jamais fait partie de mes principes. Encore heureux, ou je serais déjà mort, noyé sous les remords. J’ai pourtant un succès fou, de part mon charme naturel et la part de mystère que j’entretiens, sans forcément le vouloir. En effet… ah. Mais c’est une autre histoire, ne nous égarons pas. J’ai l’air sûr de moi, en toute circonstance et je fonce. Toujours droit devant, je ne regarde jamais en arrière, voilà ma principale philosophie. Je suis certes bourré de défauts, mais je possède tout de même quelques qualités, qui vont de paire avec mon ambition démesurée. Mon humour craint certes quelque peu, et s’il s’avère parfois noir ou mal placé, il ne me permet pas moins de garder une certaine popularité : j’ai en effet l’air d’être constamment entouré, de gens bien comme beaucoup moins fréquentables. Serpentard, quand tu nous tiens. Mais si vous ne vous fiez pas qu’aux apparences, vous découvrirez peut-être le grand gamin que je suis encore, qui crève de maque d’affection, et qui veut juste un peu plus d’attention. J’ai l’impression d’être seul au milieu de cette foule. Et si mon égo ne semble pas avoir d’égal, je pense tout de même être assez sensible pour attirer quelques regards compatissants. Mine de rien, je fais toujours plus attention à ce qui ne va pas chez moi, que le contraire et si je m’écoutais, tout serait à refaire. J’évite de m’enfoncer dans les méandres de mon esprit, et préfère garder en tête cette personnalité que je me suis construite avec le temps. Et puis, je suis jeune encore, et je ne rêve que de m’amuser encore un peu, avant les responsabilités. Je n’suis qu’un jeune loup, chiant jusqu’au bout. » préférence : « Des préférences ? Je dois vraiment énumérer tout ce que je préfère dans la vie ? On risque d’allez loin comme ça… mh, pas forcément. Ca serait bien plus long si je devais décrire tout ce que je n’aime pas. J’aime manger, ricaner, me moquer, m’amuser, sortir, enfreindre le règlement, passer mes nerfs sur les gens, envoyer promener les plus jeunes et être le premier. Des envies simples finalement, non ? Que n’importe quelle personne ici bas possède, sans forcément se l’avouer. N’ayant honte de rien, ce n’est pas non plus la culpabilité qui m’empêchera de déconner. Je ne me prends pas la tête, j’ai d’autres chats à fouetter. Je ne manquerai pour rien au monde les cours de sortilèges et de potions, ça, ce sont des matières qui me passionnent et qui ne manqueront pas de me servir. »
(• et de) cinq; joue le jeu pseudo, prénom : Muze via le net, Ophélie via IRL. Mais appellez moi Ophay =p âge : 17 ans avatar : Robert Pattinson *_° code du reglement : Yep, par nymphy comment avez vous connu le forum ? Par le biais d'un partenariat, sur The Dorilton je crois. et toi, il t'aurait foutu où, le choixpeau ? Certainement pas à Serpentard ! Sincèrement... si j'avais été lui je me serais fichu à Poufsouffle, rien que le nom de la maison me convient parfaitement ! xD un commentaire ? La déco' me plaît, c'est d'ailleurs elle qui m'a convaincu ! Ah, et j'ai beau être une adepte de HP, c'est mon premier forum du genre, je l'avoue =/
Dernière édition par Adonis N. McShore le Lun 22 Déc - 19:47, édité 9 fois |
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| Sujet: Re: « Adonis N. McShore Lun 22 Déc - 1:51 | |
| (• et de) quatre; écris moi une histoire histoire : 1 • Family « Je suis né un certain vingt trois avril, et ma première demeure vu un grand manoir familiale, perdu au beau milieu des Highlands. Fils aîné et premier héritier, j’étais voué à être pourri gâté, et à crever sous les espérances de ma famille. Et en effet, très tôt déjà je dus prouver à mes parents que j’étais digne d’eux, digne de compter parmi les sangs purs. Ne jamais faire honte à cette grande confrérie qu’était celle de la sorcellerie. Ma mère et mon père, curieusement, n’étaient pas entrés à Serpentard et pourtant, ils semblaient l’un comme l’autre avoir les conditions requises pour. Mais le courage de ma mère, et l’intelligence de mon père avait sans doute fait davantage pencher la balance, ou devrais-je dire le choixpeau, que leurs ambitions mutuelles. Ma mère était quelqu’un de très doux, elle n’élevait jamais la voix et savait manier sa baguette comme personne. Amandine McShore était une de ses élèves douées en tout à l’école, et le restait dans la vie. Sans doute un peu trop soumise à mon père, elle n’en restait pas moins une femme dévouée et sincère, qui savait s’opposer aux idées de feu de son mari quand il le fallait. Car Peter McShore lui, avait tout du cancre. Sa baguette lui échappait encore parfois, et il s’efforçait de donner le change en multipliant les succès dans d’autres domaines que celui des sorts. C’est de lui sans doute, que je tire tout mon charme : c’est sans doute un des plus bel homme qu’il vous sera donné de croiser. Il a toujours été très dur envers moi, et s’il y a bien une chose qu’il ne supporte pas, c’est l’échec et le laisser-aller. Trois ans après ma naissance, ce fut au tour de mes deux petites sœurs jumelles de voir le jour. Elena et Constantine, se ressemblaient comme deux goûtes d’eau, tout en étant très différentes au niveau du caractère. Pour faire simple, l’un ressemblait à ma mère et l’autre était le portrait de mon père. Les deux petites blondinettes ravirent bien vite mon cœur, et je devins sans doute ce qu’on appelle le frère modèle, en m’occupant d’elles dès que j’en avait l’occasion. Bien sûr, ma fibre familiale est parfaitement dissimulé lorsque je franchis les portes de l’école, je ne tiens pas à ce qui cela ruine ma réputation… »
2 • Childhood « Mes premières années de ma vie, je les passai à la maison, entouré de précepteurs chargés de mon éducation. Je devais devenir le portrait type du parait petit sorcier, pour mon entrée futur à Poudlard, car il était évident que c’est là que mes études se feraient. J’étais un garçon tout ce qu’il y a de plus normal, lorsqu’on est riche à ne plus savoir qu’en faire et adulé par une famille aux petits soins pour vous : capricieux et exagérément extraverti, j’étais assez doué lorsqu’il s’agissait de casser les pieds à tout ceux qui avait le malheur de m’entourer. Mais j’étais aussi loin d’être timide, et semblant n’avoir peur de rien, je dérobais plusieurs fois la baguette que mon père cachait derrière un meuble du salon. Cependant, je ne parvenais jamais à m’en servir, ce qui ne pu qu’attiser un peu plus ma curiosité quant à cet objet. Je n’avais qu’une hâte : posséder ma propre baguette et devenir aussi puissant que ma mère. Je m’y voyais déjà, fort et respecté parmi tous. C’était mon rêve et je me promettais de l’atteindre. Ne croyez pas que j’étais un petit garçon solitaire, bien au contraire ! Mes parents étaient des gens influents et très appréciés dans les bonnes réceptions : aussi ai-je eu plus d’une fois l’occasion de construire ce qui serait ma futur cour, car mon éducation étant ce qu’elle était, j’avais déjà les contours d’un élève brillant. De plus, je n’étais pas dépourvu de malice et n’était pas le dernier lorsqu’il s’agissait d’inventer une bêtise quelconque. J’étais bientôt l’objet d’admiration de nombre de gamins de mon âge, et appréciait grandement cette popularité. »
3 • Hogwart « Je venais tout juste d’avoir dix ans lorsque je reçu ma lettre d’admission à la célèbre école. Ce fut un véritable jour de fête et je m’efforçais de ne pas attiser la jalousie de mes sœurs, qui lorgnait avec envie sur la lettre exposée à tous. J’étais au comble de la joie et loin d’avoir envie de la partager avec le reste de ma famille, je choisissais de m’isoler. Ce fut mon erreur, une erreur monumentale qui devait me changer à jamais. Lorsque je revins de cette promenade nocturne, j’étais condamné à souffrir d’insomnie et à saliver à la simple odeur du sang. J’essayai en vain d’effacer cet instant de ma vie, mais je ne pu l’oublier. Peut-être qu’en l’avouant à quelqu’un, cela aurait pu m’aider, mais jamais je ne pu m’en vanter à qui que ce soit, aussi je le cache encore au fond de moi, comme une plaie qui ne cicatrisera jamais, à l’image de cette morsure à la base de mon cou. Au mois de juillet pourtant, le Chemin de Traverse m’aida à penser à bien d’autres choses, et à ranger cet évènement cruel parmi les autres. Toutes ces boutiques, tous ces gens me donnèrent vite le tournis, et je riais devant chaque chouette, devant chaque chat qui me filait entre les jambes, face à toute personne qui me bousculait. Je riais à perdre haleine, n’ayant qu’une hâte, celle de me trouver enfin devant ce château où je devais passer les sept prochaines années de ma vie, à apprendre ce qu’était réellement la magie. Et je fus bien sûr envoyé à Serpentard, la maison qui, je le savais, était faîtes pour moi. Je me targuais d’être un sang pur, je me devais d’être détestable, comme la plupart des élèves qui se trouvaient là. Je me faisais bien vite une place, mon charme et mon mystère agissant toujours comme un aimant, depuis toujours. J’avais en plus tant et tant à cacher à présent, combien j’avais peur. Peur de la nuit, peur du noir, peur d’être seul, peur de mourir. Peur d’être déjà mort. Mais toutes ces craintes étaient tu, j’étais trop jeune alors. Mes premières années se passèrent ainsi, entouré et solitaire à la fois, je me faisais la réputation d’un bon petit serpentard, doué en classe comme dans les relations humaines. Mon futur promettait d’être brillant. »
4 • Everything is changing « Mais qui aurait pu prévoir qu’en cette quatrième année, je me retrouve face à elle ? Dans le long trajet menant à l’école, j’avais pris l’habitude d’errer dans les couloirs du train, en compagnie de mes soi-disant amis. Cette fois, ils s’étaient arrêtés devant la cabine d’une quatrième année. Il ne la connaissait absolument pas, ne l’avais jamais croisé. J’avais cru entendre son nom parmi les rires de ses camarades, et l’avais trouvé proprement ridicule. Alors je m’étais approché, tout naturellement, et tous m’avaient cédé la place, sans pour autant arrêter les moqueries. C’est une fois devant elle, que j’avais compris que je me mettais clairement en danger si je ne lui disais qu’une seule parole. A vrai dire, je la connaissais plus que je ne l’aurais pensé. Si j’étais incapable de dire qu’elle était sa maison, en revanche, il y avait une chose dont j’étais certain, c’est qu’elle était seule. Oui, pour une raison ou pour une autre, elle semblait toujours solitaire, et peut-être ne réclamait-elle pas davantage mais en tous les cas, ce genre de caractère était toujours une faiblesse. Et c’est ce que je lui fis bien comprendre en insistant lourdement sur la perpétuelle solitude de la jeune fille. Davantage encore car je avais, au plus profond de son âme, ce qu’était cette déchirure que provoquait le fait d’être seul. Si une chose était sûre, c’est qu’elle exerçait dès lors sur moi une attraction que je ne pouvais contrôler et qui me mettait hors de moi. Je n’avais jamais été particulièrement sensible à la gente féminine, mais elle me subjuguait bien plus que je ne l’aurai jamais pensé. Pour la première fois, je su que quelqu’un peut-être, pourrait comprendre ce qui m’habitait. Elle avait quelque chose… que je ne saurais expliquer et qui m’attirait, inévitablement. Je ne pouvais rien lui dire d’autres que des insanités. Je me sentais incapable d’être gentil avec elle. Nymphadora me rendait faible et je ne pouvais détacher mon regard d’elle. Ca sentait le romantisme à plein nez, et je serais plutôt mort que de l’avouer. Je ne pouvais accepter ce sentiment, tout en ne souhaitant qu’une chose : qu’elle le partage. Aujourd’hui en septième année, j’attends. Je ne sais pas ce que je deviendrai après ma sortie de l’école et je n’ai aucune hâte de le savoir. J’ai peur parfois, de ne jamais pouvoir devenir adulte et d’agir comme tout être censé. J’ai peur, et je me promet de profiter de cette dernière année, d’être encore cet adolescent impossible et brillant, qui fait battre les cœurs et se planquer les plus jeunes. » anecdotes : A lettre from Hogwart « Je me rappelle encore de ce jour, comme si c’était hier. J’étais à l’étage, occupé à jouer avec mes adorables sœurs, lorsque ma mère m’a demandé de descendre. Je manifestais mon mécontentement en marmonnant dans ma barbe, désolé à l’idée de devoir plier le linge ou je n’sais quoi encore, alors qu’elle pouvait tout aussi bien le faire avec un simple sort. Mais elle m’attendait dans le salon, debout près de la table, avec mon père à ses côtés. Une lettre attendait sagement dans sa main, et elle me la tendait en me souriant avec douceur. Je compris ce que contenait la missive rien qu’en voyant les étincelles de fierté briller dans les yeux de ma mère. Je n’avais sans doute jamais serré quelqu’un aussi fort, et il s’en fallu de peu pour que je pleure. Mais je voulais me donner un air mature, car après tout, j’avais sous les yeux la preuve de mon entrée à Poudlard. Nous eûmes droit à un somptueux festin à midi, et je crois n’avoir jamais vu autant de fierté dans l’attitude de mes parents. Malheureusement, je crois qu’il leur faudra encore longtemps avant de me voir autrement que comme un gosse. Mais ça ne me gêne pas tant que cela, au contraire c’est peut-être ce que j’ai de plus rassurant dans cette vie. »
A vampire in the garden « Ce même soir, je manifestais le besoin de m’isoler. Toute cette allégresse, quand elle retombait, faisait toujours des dégâts sur le mental et je ne souhaitais pas me noyer dans des regrets mal placés devant tout le monde. Et puis, j’avais besoin de relire la lettre encore une fois, rien que pour moi, sans que mes sœurs ne me jettent des coups d’oeil envieux dans le dos. Je crois que je n’avais jamais été aussi heureux de a vie. Enfin, j’allais pouvoir goûter à la magie pure, tenir une baguette dans ma main, et être reconnu comme un véritable sorcier. C’était ce à quoi j’aspirais depuis toujours et mon ambition allait enfin se concrétiser. Il était déjà clair que je serais le plus brillant, le plus intelligent. Qu’on m’aime ou pas, je n’en avait pas grand-chose à faire : je voulais juste sentir les regards d’admiration qu’on ne manquerait pas de me lancer, dès que j’entrerai dans l’école. Poudlard. Ce nom résonnait comme une douce promesse et je m’attardais dehors, dans le profond jardin que ma chère maman avait toujours entretenu avec soin. C’est un bruit derrière moi qui me fit me retourner. Un léger son d’étoffe, que je n’entendis qu’à peine, mais qui suffit à me donner la chair de poule. Je n’eu le temps d’apercevoir que deux yeux rouges sang, avant de sentir une monstrueuse douleur, ou un grand plaisir, je ne sais plus exactement. Je dus m’évanouir, car je me retrouvais quelques temps plus tard sur l’herbe humide, ouvrant les yeux avec peine. L’aube pointait, et j’entendais qu’on criait mon nom au loin. Je ne su jamais exactement ce qui s’était passé, et je préfère ne pas m’en souvenir. J’ai encore peur rien qu’à l’idée de ce regard de sang, et je n’ose regarder mon reflet dans la glace dès que minuit sonne. J’ai ces deux petites plaies dans mon cou, et cette preuve me suffit bien. Je crois que jamais je n’oserais prononcer le nom de ce qui m’a mordu ainsi, et curieusement, jamais je ne suis devenu ce genre de chose à mon tour. J’ai juste du mal à dormir la nuit, et le goût du sang ne me dégoûte plus autant. Mais j’avoue avoir eu peur de n’être plus qu’un mort vivant, durant de longues années. »
What’s wrong with her ?« Il me semble évident que je dois en plus parler d’elle. J’ai des tas de souvenirs d’elle. Je crois qu’aujourd’hui, je la connais par cœur. Je sais sa façon de marcher, et connaît par cœur la façon qu’elle a de me regarder. Je me plais à la regarder dans les yeux, rien que pour la voir détourner le regard. C’est comme si je me devais de la troubler, pour mieux cacher le mien. J’apprécie nos cours en commun, particulièrement ceux de sortilège où elle se montre toujours brillante, quoique pas autant que moi. A chaque question du professeur, je me fais un plaisir de ne pas la quitter des yeux, en sachant pertinemment qu’elle a la réponse sur le bout de la langue mais que cette dernière s’emmêle. Je sais qu’elle sent mon regard, et qu’il y a de grande chance qu’elle ne sente que le mien. Du moins… c’est ce que j’espère. Je me rappelle de cette fois où après lui avoir chuchoté « Alors, Nymphy, on perd ses moyens ? » alors qu’elle semblait hésité à lever la main, elle avait quasiment assommé sa voisine de table. Je crois n’avoir jamais autant rit que ce jour là. »
relations : « Si je suis populaire ? Aucun doute là-dessus. Je suis constamment entouré et je dois dire que j’adore cela, bien que je sois incapable de mettre un nom sur la plupart des personnes qui m’entourent. Pour la plupart, c’est eux qui se sont décrétés mes amis, que je sois d’accord ou pas. Ils me collent un peu, certes, mais je sais me faire entendre et tout ce petit monde décampe dès qu’il me tape un peu trop sur les nerfs. J’ai du mal à faire confiance et à m’attacher : ce qui ferait de mois quelqu’un de plutôt solitaire si je n’étais pas aussi « en vu ». Pour ma part, je ne pense pas avoir de réel ami, je n’en ai d’ailleurs jamais eu. C’est plus des connaissances, voire des copains pour les plus proches. Côté cœur, ne m’en parlez même pas. J’ai eu quelques admiratrices avec lesquelles j’ai sauté le pas, mais ça n’a jamais rien donné de bon tout ça. Je ne crois pas franchement en l’amour et à tout ce tralala de sentiments… mais jusqu’à quand ? »
Dernière édition par Adonis N. McShore le Lun 22 Déc - 19:47, édité 6 fois |
| | | Winnifred M. Fitzerald « enthusiastic admin » like a virgin
Nombre de messages : 358 — ancienne école : Poudlard — facultés : être l'amie d'un lycan ? lionne et patata
Pensine — humeur: enthousiaste — âge: vingt ans — métier: serveuse aux trois balais
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: « Adonis N. McShore Lun 22 Déc - 2:02 | |
| ♥ ROBERT PATTINSON ♥
Bienvenue =3 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « Adonis N. McShore Lun 22 Déc - 2:10 | |
| Ne cache pas ta joie, non non non. Ca m'fait plaisir à moi aussi, tu penses ! x3 && merci pour tes encouragements, c'est d'autant plus rassurant de voir que je ne suis pas la seule à débuter, ahah °_° && oui... Robert, quoi. Il nous réapprend à aimer les vieux prénoms, hein Merci Sixtine =p |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « Adonis N. McShore Lun 22 Déc - 2:11 | |
| Si ça peut rassurer je suis complètement lost dans l'univers HP =S pourtant j'adore mdr |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « Adonis N. McShore Lun 22 Déc - 2:27 | |
| Ca rassure, en effet ! J'me sens moins seule d'un coup, et je regrette encore moins mon inscription x3 Allez, j'continue sur ma lancée, je suis bien partie |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « Adonis N. McShore Lun 22 Déc - 2:40 | |
| Wi =) bonne continuation ^^ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « Adonis N. McShore Lun 22 Déc - 17:31 | |
| Merci beaucoup ! =p && voilà, il me semble que tout est terminé ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « Adonis N. McShore Lun 22 Déc - 17:45 | |
| aucun doute ne se met en travers de mon chemin, la maison qui t'es destinée est pour sur celle qui tu désire. Bien qu'un morceau de ta personnalité reste caché à l'intérieur de toi, ta malice et ta ruse fond de toi un grand et parfait te voilà donc validée. N'oublie pas de venir faire ton recensement de Patronus, puisque tu es en septième année. Une envie soudaine de faire partie de l'équipe de quidditch, ou d'être préfet ? ici. P.S personnel : WAW, j'adore ta présentation *in love* |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « Adonis N. McShore Lun 22 Déc - 19:50 | |
| Merci merci merci !! Je me suis appliquée pour Robert, quand même èwé |
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| Sujet: Re: « Adonis N. McShore | |
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| | | | « Adonis N. McShore | |
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